La Blessure d’Abandon : Comprendre et Guérir cette Peur de la Solitude
Avez-vous déjà ressenti ce vide intérieur, cette crainte sourde que ceux que vous aimez puissent un jour vous laisser tomber ? Cette sensation, parfois inexplicable, pourrait être l’écho d’une blessure profonde : la blessure d’abandon. Décrite par Lise Bourbeau dans Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même, elle naît souvent dans l’enfance, lorsque l’enfant perçoit une rupture, un manque de présence ou une séparation – réelle ou émotionnelle – qui le laisse avec l’impression qu’il ne peut compter sur personne. Un parent absent, une attention fluctuante ou une perte précoce peuvent planter cette graine d’insécurité qui grandit en une peur persistante de la solitude.
Dans ma pratique quotidienne je vois des femmes en quête d’épanouissement, je rencontre souvent cette blessure sous des formes variées : une dépendance affective masquée par une énergie débordante, une peur de dire « non » par crainte de perdre l’autre, ou une difficulté à se sentir entière seule. Mais cette blessure n’est pas une fatalité – elle est une porte vers une autonomie profonde et une paix intérieure. Dans cet article, nous allons explorer la blessure d’abandon : ses origines, ses impacts sur votre vie, et surtout, comment la guérir avec des outils pratiques et des soins énergétiques comme la Méthode D.A.M. et la kinésiologie. Que vous vous reconnaissiez dans cette peur ou que vous cherchiez à accompagner un proche, ces lignes vous offriront des clés pour transformer cette blessure en force. Prête à vous libérer de ce poids et à retrouver votre ancrage ? Embarquons ensemble dans ce voyage.
COMPRENDRE LA BLESSURE D’ABANDON
La blessure d’abandon, c’est cette angoisse qui surgit à l’idée d’être laissé(e) seul(e), cette peur que l’amour ou le soutien des autres puisse s’évanouir sans prévenir. Selon Lise Bourbeau, elle se forme quand un enfant vit une rupture – physique ou émotionnelle – avec une figure d’attachement, souvent un parent. Ce n’est pas toujours un abandon au sens littéral : un père qui travaille trop, une mère dépressive ou un divorce peuvent suffire à faire sentir à l’enfant qu’il n’est pas une priorité. Cette expérience laisse une marque : « Si je ne suis pas assez important(e), on me laissera. »
Dans la vie adulte, cette blessure se traduit par des comportements révélateurs. Vous reconnaissez-vous dans ces signes ? Une tendance à vous accrocher aux autres, cherchant leur présence ou leur approbation pour vous sentir bien ; une peur viscérale de la solitude qui vous pousse à rester dans des relations toxiques ou insatisfaisantes ; ou une hypersensibilité aux moindres signes de distance – un message sans réponse devient une catastrophe, un ton plus froid une menace. Le masque du « dépendant » devient votre bouclier : vous donnez beaucoup, parfois trop, pour retenir l’autre, multipliant les attentions ou les concessions.
Mais ce masque a un coût. Il vous épuise, vous éloigne de vos propres désirs, et peut même attirer des situations où l’abandon se répète, renforçant cette vieille blessure. Physiquement, cela peut se voir : une posture qui cherche le contact, comme des épaules tendues vers l’avant, ou une énergie en dents de scie – des hauts intenses suivis de bas profonds. Comprendre cette blessure, c’est la regarder avec tendresse. Ces réactions ne sont pas des faiblesses, mais des signaux d’un cœur qui aspire à être rassuré et à se sentir en sécurité.
ORIGINES ET IMPACTS
Les racines de la blessure d’abandon plongent souvent dans des moments où l’enfant se sent délaissé ou non soutenu. Pensez à une petite fille dont le père part chaque matin sans un au revoir, la laissant seule avec un sentiment d’invisibilité ; ou à un garçon dont les parents divorcent, le laissant croire qu’il n’a pas su maintenir leur amour. Parfois, c’est plus diffus : une mère émotionnellement absente, un déménagement qui coupe des liens précieux, ou une hospitalisation qui éloigne l’enfant de ses repères. Ces instants, même s’ils semblent anodins à l’adulte d’aujourd’hui, sont vécus comme des pertes par l’enfant sensible qu’on était alors.
Ces expériences façonnent l’adulte que vous êtes devenu(e). Émotionnellement, la peur de l’abandon peut vous rendre anxieux(se) dès que l’autre s’éloigne – un silence devient une preuve de désintérêt, une dispute une fin imminente. Dans les relations, cela crée un paradoxe douloureux : soit vous vous accrochez désespérément, étouffant parfois votre partenaire, soit vous vous éloignez par anticipation, préférant partir avant d’être quitté(e). Cette blessure peut aussi vous pousser à surcompenser : vous devenez celle qui fait tout pour les autres, qui dit « oui » même quand elle pense « non », pour éviter le vide.
Le corps, lui, porte cette histoire. Les personnes marquées par l’abandon ont souvent une énergie instable – des élans de vitalité suivis d’épuisement, comme si elles dépendaient des autres pour se ressourcer. Elles peuvent chercher du réconfort dans des habitudes comme la nourriture ou rester dans un état de tension chronique. Au travail, cela peut se traduire par un besoin constant de validation, une peur de prendre des initiatives seule, ou une difficulté à poser des limites. Voir ces impacts, c’est reconnaître que l’abandon n’est pas juste une peur passagère – c’est une empreinte profonde qui appelle une guérison douce et intentionnelle.
COMMENT GUÉRIR
Guérir la blessure d’abandon, c’est apprendre à être votre propre refuge, à vous tenir debout avec ou sans les autres. Voici des étapes pratiques pour avancer. Commencez par l’acceptation : accueillez cette peur sans vous juger. Prenez un carnet et notez ce que la solitude vous évoque – pas pour vous y perdre, mais pour lui donner une forme et la libérer. Essayez ensuite la méditation d’ancrage : cinq minutes par jour, asseyez-vous, respirez profondément, et répétez « Je suis là pour moi, je suis assez ». Cela renforce votre présence intérieure. Le reparentage est aussi puissant : fermez les yeux, visualisez-vous enfant, et offrez-lui l’amour qu’il a manqué – une parole douce, un câlin imaginaire. Ces gestes simples apaisent l’âme.
Mais pour aller plus loin, les soins énergétiques sont des alliés précieux. La Méthode D.A.M. (Déblocages dans l’inconscient, Amour de soi, Mission de vie) est une approche complète qui vous guide vers l’harmonie. Elle agit sur trois piliers : libérer les blocages inconscients qui nourrissent votre peur de l’abandon, cultiver l’amour de soi pour que vous deveniez votre propre source de sécurité, et clarifier votre mission de vie pour vous donner un ancrage qui ne dépend de personne. Imaginez une séance où ce vide intérieur s’adoucit, où vous ressentez une force qui ne vacille plus face à l’absence des autres.
La kinésiologie, quant à elle, offre une profondeur unique. Grâce au test musculaire, elle dialogue avec votre corps pour identifier les mémoires d’enfance – comme ce jour où vous avez attendu un parent qui n’est pas revenu – ou des blessures transgénérationnelles, peut-être une grand-mère abandonnée dont l’écho résonne en vous. Dans ma pratique quotidienne, je reçois des femmes qui ont souvent porté ce poids de l’abandon sans le savoir, qu’il vienne d’un père absent ou d’une lignée marquée par la perte. La kinésiologie libère ces empreintes en rééquilibrant votre énergie, vous permettant de vous sentir complète, non plus par peur de la solitude, mais par une plénitude intérieure. Sur 7envous.ch, ces outils accompagnent mes clientes vers une autonomie douce et durable – une transformation qui commence par un pas vers soi.

CONCLUSION
La blessure d’abandon n’est pas une chaîne qui vous retient éternellement – elle est un appel à vous retrouver. Elle vous a peut-être appris à craindre le vide, mais elle peut aussi vous guider vers une liberté intérieure profonde. En comprenant ses racines, en observant ses effets, et en utilisant des outils comme l’acceptation, la méditation et les soins énergétiques, vous pouvez transformer cette peur en confiance. La Méthode D.A.M. et la kinésiologie sont des mains tendues sur ce chemin : elles dissolvent ce qui vous pèse et construisent un amour de soi inébranlable.
Si ces mots ont résonné en vous, je vous invite à aller plus loin. Essayez, mon quiz « Quelle est votre blessure primaire ? » peut vous offrir un éclairage supplémentaire. Et si vous ressentez le besoin de guérir cet abandon qui vous suit, mes séances énergétiques sont là pour vous soutenir. Vous n’êtes pas condamné(e) à attendre les autres pour vous sentir vivant(e) – vous portez en vous tout ce qu’il faut pour être entière. Ce voyage vers vous-même ne demande qu’un premier pas : écouter cette blessure, non pas comme une ennemie, mais comme une messagère qui vous ramène à votre propre force. Alors, pourquoi ne pas commencer aujourd’hui ?
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