La Blessure de Rejet : Comprendre et Guérir cette Ombre Intérieure
Avez-vous déjà eu l’impression de passer inaperçu(e), comme si votre présence ne comptait pas vraiment ? Ce sentiment diffus, cette peur d’être mis(e) à l’écart ou jugé(e), pourrait être le signe d’une blessure profonde : la blessure de rejet. Décrite par Lise Bourbeau dans Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même, elle prend racine dans les premières années de vie, souvent lorsque l’enfant perçoit – à tort ou à raison – qu’il n’est pas pleinement désiré ou accepté. Peut-être un parent distant, un regard froid, ou une comparaison avec un frère ou une sœur ont semé cette graine d’insécurité qui, avec le temps, s’est transformée en une ombre intérieure.
Sur mon site 7envous.ch, dédié aux femmes leaders en quête d’épanouissement, je vois souvent cette blessure se manifester : une timidité masquée par un sourire, une tendance à se retirer plutôt que de briller, ou une difficulté à dire « je suis assez ». Pourtant, cette blessure n’est pas une fatalité. La reconnaître, c’est ouvrir la porte à une transformation profonde. Dans cet article, nous allons plonger dans l’univers du rejet : d’où il vient, comment il façonne nos vies, et surtout, comment le guérir avec des outils concrets et des soins énergétiques comme la Méthode D.A.M. et la kinésiologie. Que vous vous sentiez concerné(e) ou que vous cherchiez à mieux comprendre un proche, ces lignes vous guideront vers une reconnexion à votre valeur. Prête à lever le voile sur cette blessure et à reprendre votre lumière ? Allons-y ensemble.
Sur mon site 7envous.ch, dédié aux femmes leaders en quête d’épanouissement, je vois souvent cette blessure se manifester : une timidité masquée par un sourire, une tendance à se retirer plutôt que de briller, ou une difficulté à dire « je suis assez ». Pourtant, cette blessure n’est pas une fatalité. La reconnaître, c’est ouvrir la porte à une transformation profonde. Dans cet article, nous allons plonger dans l’univers du rejet : d’où il vient, comment il façonne nos vies, et surtout, comment le guérir avec des outils concrets et des soins énergétiques comme la Méthode D.A.M. et la kinésiologie. Que vous vous sentiez concerné(e) ou que vous cherchiez à mieux comprendre un proche, ces lignes vous guideront vers une reconnexion à votre valeur. Prête à lever le voile sur cette blessure et à reprendre votre lumière ? Allons-y ensemble.
Comprendre la blessure de rejet
La blessure de rejet, c’est cette petite voix intérieure qui murmure : « Je ne suis pas assez bien », « Je ne mérite pas d’être aimé(e) ». Selon Lise Bourbeau, elle se forme quand un enfant ressent un manque d’accueil ou d’amour, souvent dès la naissance ou dans les premières années. Ce n’est pas toujours un rejet explicite – un parent peut aimer son enfant mais être trop occupé, trop critique, ou simplement incapable d’exprimer son affection. L’enfant, hypersensible à ces signaux, interprète cela comme un message : « Je ne suis pas voulu(e) ».
Dans la vie adulte, cette blessure se traduit par des comportements spécifiques. Vous reconnaissez-vous dans ces signes ? Une peur intense du jugement qui vous pousse à éviter les regards ou les confrontations ; une tendance à vous isoler dès que vous sentez une critique venir ; ou encore une difficulté à demander de l’aide, comme si demander était une preuve de faiblesse. Le masque du « fuyant » devient alors une armure : vous disparaissez, littéralement ou émotionnellement, pour ne pas risquer d’être rejeté(e) à nouveau.
Ce masque a un prix. Il vous protège, oui, mais il vous coupe aussi des autres. Vous pourriez être celle qui dit « non » à une invitation par peur de ne pas être à la hauteur, ou celle qui s’efface dans un groupe pour ne pas déranger. Physiquement, le rejet peut même se voir : une posture voûtée, un regard fuyant, ou une relation compliquée avec votre corps, que vous jugez trop souvent. Comprendre cette blessure, c’est déjà poser un regard bienveillant sur ces mécanismes. Ce ne sont pas des défauts, mais des échos d’un passé qui demande à être apaisé.
Origines et impacts
D’où vient cette blessure ? Les origines sont aussi variées que nos histoires personnelles, mais certaines situations reviennent souvent. Imaginez un enfant dont le père, par exemple, rêvait d’un garçon et qui se retrouve face à une fille – même sans mots, le message implicite peut être perçu comme « tu n’es pas celle que j’attendais ». Ou une mère débordée qui, sans le vouloir, laisse son bébé pleurer trop longtemps, instillant un sentiment d’abandon qui se mue en rejet. Parfois, c’est plus subtil : une remarque comme « tu es trop sensible » ou une comparaison avec un frère plus extraverti peut suffire à planter cette graine.
Ces expériences, même minimes, s’impriment dans l’inconscient et grandissent avec nous. À l’âge adulte, l’impact est profond. Sur l’estime de soi, d’abord : vous pourriez vous sentir inadéquat(e), même face à des succès évidents. Dans les relations, ensuite : la peur du rejet vous pousse soit à vous fermer complètement, soit à chercher une approbation excessive, créant un cercle vicieux où vous attirez parfois ce que vous craignez.
Le corps, lui aussi, raconte cette histoire. Les personnes marquées par le rejet ont souvent une silhouette frêle ou une posture qui semble dire « ne me vois pas ». Elles peuvent aussi rejeter leur apparence, évitant les miroirs ou se trouvant toujours un défaut. Au travail, cette blessure peut vous rendre perfectionniste par peur d’être critiquée, ou au contraire vous paralyser face à une prise de risque. Comprendre ces impacts, c’est voir à quel point le rejet est une blessure qui touche l’âme autant que le quotidien – mais aussi une blessure qui peut être guérie.
Comment la guérir

Guérir la blessure de rejet, c’est un voyage vers soi, un retour à cette part de vous qui mérite d’être vue et aimée. Voici quelques étapes pratiques pour commencer. D’abord, l’acceptation : regardez cette blessure sans la juger. Prenez un carnet et écrivez ce que vous ressentez quand vous vous sentez rejeté(e) – pas pour vous apitoyer, mais pour nommer cette douleur et la laisser respirer. Ensuite, essayez des affirmations positives : répétez chaque matin « Je suis digne d’amour », « J’ai ma place ici ». Ça peut sembler simple, mais ces mots réécrivent peu à peu votre dialogue intérieur. Le journaling est aussi puissant : notez trois choses que vous aimez chez vous chaque jour, même petites, pour reconstruire votre estime.
Mais les mots et les pensées ne suffisent pas toujours. C’est là que les soins énergétiques entrent en jeu. La Méthode D.A.M. (Déblocages dans l’inconscient, Amour de soi, Mission de vie) est une approche complète qui vous guide vers l’harmonie intérieure. Elle travaille sur trois axes : libérer les blocages inconscients qui vous maintiennent dans la peur du rejet, renforcer l’amour de soi pour que vous n’ayez plus besoin de l’approbation extérieure, et clarifier votre mission de vie pour vous sentir aligné(e) et utile. Imaginez une séance où vos doutes s’allègent, où vous ressentez enfin que vous êtes assez, juste comme vous êtes.
Et puis, il y a la kinésiologie, un outil extraordinaire pour aller plus loin. Cette technique utilise le test musculaire pour dialoguer avec votre corps et identifier les mémoires d’enfance – comme ce jour où vous vous êtes senti(e) mis(e) de côté – ou même des blessures transgénérationnelles, héritées de vos ancêtres. Dans ma pratique quotidienne, je reçois des femmes qui ont souvent grandi avec ce sentiment de ne pas être assez, que ce soit à cause d’un parent distant ou d’un héritage familial silencieux. La kinésiologie libère ces blocages en rééquilibrant votre énergie, vous permettant de vous ouvrir au monde sans crainte. Ces outils, que j’utilise sur 7envous.ch, ne sont pas magiques, mais ils sont puissants – ils vous rendent à vous-même.
Conclusion
La blessure de rejet n’est pas une condamnation, mais une invitation à vous redécouvrir. Elle vous a peut-être appris à vous cacher, mais elle peut aussi vous pousser à briller. En comprenant ses origines, en voyant ses impacts, et en utilisant des outils comme l’acceptation, les affirmations et les soins énergétiques, vous pouvez transformer cette ombre en lumière. La Méthode D.A.M. et la kinésiologie ne sont que des mains tendues sur ce chemin : elles vous aident à libérer ce qui vous retient et à vous aimer pleinement.
Si cet article a résonné en vous, je vous invite à faire un pas de plus. Sur 7envous.ch, mon quiz « Quelle est votre blessure primaire ? » peut vous éclairer encore davantage. Et si vous sentez l’appel de guérir ce rejet qui vous pèse, mes séances énergétiques sont là pour vous accompagner. Vous n’êtes pas seul(e), et vous n’êtes pas « trop » ou « pas assez » – vous êtes exactement là où vous devez être pour commencer ce voyage.
Alors, qu’attendez-vous pour reprendre votre place ?